Provocation De
Toute provocation est provocation de quelque chose.
Qu’en est-il de nos sensations et nos émotions ?
Est-ce que toute société ne privilégie pas le formalisme par une aseptisation des actes (actes routiniers, actes sexuels) ne construisant ainsi qu’une Masse conditionnée par des manifestations rituelles (langage des actes) à effectuer dans leur contexte.
Que se passe t-il quand le rite est proposé dans un contexte inhabituel ?
Aller à la rencontre avec une autre forme de langage basé sur les Nuances Émotionnelles Philomotrices.
Susciter une communication émotive par la sensation de deux langues qui se touchent.
La proposition de l’acte, se rapportant à un ensemble de codes appartenant à notre société, provoque une première réaction primaire dictée par les habitudes de pensées, de comportement.
Quand il y a passage à l’acte, l’acte outrepasse-t-il ce conditionnement ou ce conditionnement recontextualise-t-il les codes présupposés ?
L’expression engagée, de quelles perceptions va-t-elle être le support ?
La langue est-elle langage ?
Y a-t-il Provocation De dialogue ?
Le dialogue importe-t-il vraiment ?
Y a-t-il Provocation De réflexion ? |